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Le recours de l'APEC
Le Scot... De tous les dangers
Le SCoT a été élaboré et validé par nos Élus communautaires le 16 décembre 2013.
Il menace le développement raisonnable de Collonges pour les raisons suivantes :
- Non prise en compte des spécificités et particularités de Collonges.
- impose une sur -densification
- ne préserve pas le vieux Bâti
Le détail du positionnement peut être consulté
dans ce document
et également
dans cette synthèse plus complète
fournie aux conseillers communautaires.
Pour défendre les intérêts de Collonges sous Salève, l'APEC a déposé un recours contre le SCoT auprès du Tribunal Administratif
de Grenoble. Un des objectifs de ce recours est d’infléchir la politique antérieure de la Communauté de Communes ;
et c'est d'ailleurs dans cette perspective que le cas de Collonges-sous-Salève est
une illustration, et non la question centrale et unique.
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Réunion du 26 janvier 2015
A cette réunion étaient présents :
- Pour la CCG : Pierre-Jean Crastes (Président), Michel Mermin (en charge du SCoT)
et Mme Stéphanie Bournhonnet (CCG)
- Pour Collonges sous Salève : Christophe Béroujon (Maire adjoint)
- Pour l'APEC : Evelyne Croset (Présidente) et Corinne Béroujon (Trésorière)
L'APEC a fait parvenir aux participants un projet de compte-rendu le 7 fevrier ; ce
compte-rendu n'a été à ce jour validé que par la commune de Collonges ; néanmoins nous le mettons
dès ce jour le 5 avril 2015 en ligne en attendant la validation de la Communauté de Communes.
Vous pouvez le consulter
ici.
Nous avons noté différents points au cours de la réunion :
- Interprétation du SCoT
La CCG, elle-même, se rend compte que parmi les 3 représentants présents
chacun donne des interprétations différentes et qu'il devient donc
nécessaire de clarifier ces interprétations.
- Présentation du SCoT
Le document PowerPoint utilisé pour la présentation du SCoT aux communes
en cours de révision du PLU ne met pas en évidence les points litigieux
et soumis à interprétation que l'APEC a développé dans son recours.
- Rattachement à l'aire urbaine d'Annemasse
Pour rappel ce rattachement, décidé par M. le Préfet de Haute-Savoie et non
contesté par la municipalité précédente, implique, entre autres, le
rattachement de Collonges à la loi SRU et donc la construction de 25% de logements
sociaux. Ce manque de logements sociaux est sanctionné par une amende
acquitée par la Commune, amende annuelle. Cette décision a été contestée
par des collongeois auprès du Tribunal Administratif mais le dossier n'a
toujours pas été plaidé.
Lors des dernières élections municipales, M. Ettalaz, à une
question posée par l'APEC, avait répondu que ce rattachement ne serait pas contesté
s'il venait à être élu.
Nous constatons que, confronté aux conséquences manifestement mal percues,
la municipalité indique que pour elle il est très important que ce
rattachement à l'aire urbaine d'Annemasse soit annulé.
- Prise en compte de notre démarche
Il semble que la CCG prenne conscience des prescriptions dangereuses
présentes dans le SCoT et soit prête à une démarche explicative
auprès des différentes communes. Néanmoins nous jugerons sur les actes.
L'APEC a reçu la version corrigée de la CCG de compte-rendu le 16 juin 2015. De manière
surprenante, malgré la validation de deux des 3 participants, la CCG semble être
devenue amnésique des échanges qui ont eu lieu au cours de cette réunion. De plus
nous notons un revirement complet de la position de la CCG sur les différents points
abordés. Vous pouvez par vous-même le constater
en consultant la version corrigée de la CCG.
Ce compte-rendu était accompagné
de ce courrier ainsi que de la
copie d'un courrier transmis par la préfecture à M. Le Sénateur CARLE et concernant le rattachement
à l'aire urbaine d'Annemasse.
Même si l'APEC, en tant que personne morale, ne peut intervenir sur cette décision de
rattachement, nous ne pouvons que constater que l'argumentaire préfectoral ne justifie
en rien la rattachement à Annemasse mais bien celui à Saint Julien en Genevois, ce
qui ne semble pas avoir interpellé le service juridique de la CCG.
L'APEC a été profondément choquée de ces difféents documents reçus de la CCG ; il
a été décidé lors de la dernière réunion du CA de l'APEC de répondre de manière
très incisive à la CCG. La présidente a donc fait parevnir
ce courrier à la CCG le
13 juillet, courrier pour lequel nous n'avonbs à ce jour aucune réponse, mais
il est vrai que la CCG a mis presque 6 mois à répondre au compte-rendu de cette
réunion.
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Réunion du 7 juillet 2014
Suite à la réunion du 7 juillet 2014, la CCG nous a fait parvenir
ce compte-rendu le 9 septembre 2014.
Le 8 décembre 2014, l'APEC a fait part de ses remarques sur ce compte-rendu, en faisant
parvenir à la CCG
ces remarques.
En réponse à ces remarques, une nouvelle réunion a été planifiée avec la CCG le 26 janvier2015 à 14h.
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Réunion du 19 mai 2014
Dès le 09 avril 2014, l'APEC a informé l'ensemble du nouveau conseil communautaire de ce recours
en adressant à ces 52 membres
ce courrier,
courrier que vous pouvez également consulter dans la rubrique «
Courrier ».
Ce courrier ainsi que
notre argumentaire
a été utilisé comme support pour une première
réunion avec la CCG le 19 mai 2014.
Le
compte-rendu, fourni par la CCG,
très formaliste nous fait craindre un échec de notre démarche menant les élus
communautaires à infléchir leur politique urbanistique.
Aussi, l'APEC en préparation de la deuxième réunion prévue le 7 juillet 2014
a fait parvenir
ce courrier
au président de la Communauté de Communes du Genevois,
courrier que vous pouvez également consulter dans la rubrique «
Courrier ».